le radical
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le radical
Le radical, qui est la racine du verbe, nous permet d'identifier son sens.
Principe de stabilité du radical
Normalement, le radical reste stable dans les deux premières conjugaisons :
Je parlerais, tu parlas, qu'ils parlassent, parlant, parlé, que nous parlions, parlez…
Je finirais, vous finîtes, finissant, qu'ils finissent, fini, finis, que nous finissions…
À la troisième, il lui arrive souvent de se modifier, parfois même, au cours d'un même temps :
Je veux, tu veux, il veut, nous voulons, vous voulez, ils veulent.
Mais, mis à part ces exceptions, le principe veut que rien ne soit soustrait au radical. En conséquence, les verbes terminés en -guer et en -quer conservent la combinaison -gu- et -qu- dans toute la conjugaison, même lorsque cette combinaison pourrait être simplifiée en -g- ou -c- :
Naviguer : nous naviguons, je naviguais, en naviguant…
Provoquer : nous provoquons, je provoquais, en provoquant…
Aménagement du radical pour maintenir la prononciation
Cependant, s'il est impossible de retrancher quoi que ce soit au radical, il est en revanche possible d'y ajouter quelque chose chaque fois que c'est indispensable. En effet, certains radicaux, pour conserver la prononciation, peuvent subir divers aménagements orthographiques (qui ne sont pas à proprement parler considérés comme des exceptions) :
Le -c- de certains radicaux prend une cédille devant une terminaison qui, sans cela, modifierait sa prononciation :
Avancer : j'avance, nous avançons, j'avançais…
Apercevoir : j'aperçois, tu aperçus, nous apercevons…
Le -g- de certains radicaux est suivi d'un -e- muet devant une terminaison qui, sans cela, modifierait sa prononciation :
Manger : je mange, nous mangeons, je mangeais, vous mangiez, en mangeant…
Principe de stabilité du radical
Normalement, le radical reste stable dans les deux premières conjugaisons :
Je parlerais, tu parlas, qu'ils parlassent, parlant, parlé, que nous parlions, parlez…
Je finirais, vous finîtes, finissant, qu'ils finissent, fini, finis, que nous finissions…
À la troisième, il lui arrive souvent de se modifier, parfois même, au cours d'un même temps :
Je veux, tu veux, il veut, nous voulons, vous voulez, ils veulent.
Mais, mis à part ces exceptions, le principe veut que rien ne soit soustrait au radical. En conséquence, les verbes terminés en -guer et en -quer conservent la combinaison -gu- et -qu- dans toute la conjugaison, même lorsque cette combinaison pourrait être simplifiée en -g- ou -c- :
Naviguer : nous naviguons, je naviguais, en naviguant…
Provoquer : nous provoquons, je provoquais, en provoquant…
Aménagement du radical pour maintenir la prononciation
Cependant, s'il est impossible de retrancher quoi que ce soit au radical, il est en revanche possible d'y ajouter quelque chose chaque fois que c'est indispensable. En effet, certains radicaux, pour conserver la prononciation, peuvent subir divers aménagements orthographiques (qui ne sont pas à proprement parler considérés comme des exceptions) :
Le -c- de certains radicaux prend une cédille devant une terminaison qui, sans cela, modifierait sa prononciation :
Avancer : j'avance, nous avançons, j'avançais…
Apercevoir : j'aperçois, tu aperçus, nous apercevons…
Le -g- de certains radicaux est suivi d'un -e- muet devant une terminaison qui, sans cela, modifierait sa prononciation :
Manger : je mange, nous mangeons, je mangeais, vous mangiez, en mangeant…
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